Ma joie n’est pas votre peine
Je ne vous dois rien
Vous me devez moins encore
On a toujours tort d’avoir tort
Trop souvent nous pleurons
Ce qui nous a réjoui
La peine et la joie sont inséparables
Comme les plateaux d’une balance
Ta maison est ton corps agrandi
Ta maison rêve
Tu aimerais que ta maison voyage seule
De la ville à la vallée
Que détiens-tu dans ta maison ?
Ton désir de confort
Qui t’enfouit sous son duvet de chardon
Conduisant le cortège funèbre