KGI 36

Ma joie n’est pas votre peine
Je ne vous dois rien
Vous me devez moins encore
On a toujours tort d’avoir tort

Trop souvent nous pleurons
Ce qui nous a réjoui
La peine et la joie sont inséparables
Comme les plateaux d’une balance

Ta maison est ton corps agrandi
Ta maison rêve
Tu aimerais que ta maison voyage seule
De la ville à la vallée

Que détiens-tu dans ta maison ?
Ton désir de confort
Qui t’enfouit sous son duvet de chardon
Conduisant le cortège funèbre