Deux tu es deux
L’unité est funèbre
La dualité te crée
En te multipliant
Tu jettes l’ancre
Comme une seiche
Tu te protèges dans un nuage
Tu vis caché
Les enfants de l’espace
Ne sont pas nombreux
Ils ont pour se reconnaître
Des mats et des fanions
Une vraie maison n’est pas une plaie
Mais la paupière qui couvre l’oeil
Elle n’est pas une tombe
Son secret reste le tien