Lyr 46
L’eau est glaciale Le vent lacère la peau Sur l’étendue de sable Le soleil s’attarde Ici les siècles se recouvrent d’une poussière jaune...
L’eau est glaciale Le vent lacère la peau Sur l’étendue de sable Le soleil s’attarde Ici les siècles se recouvrent d’une poussière jaune...
Mon pas solitaire a des cailloux dans ses semelles Je chante ma douleur en m’agrippant aux lierres Ma petite vie n’est qu’un long désœuvrement...