Hommage à Clément Marot

Clément Marot, début XVI° siècle :

Je ne suis plus ce que j’étais
Mon joli printemps
Mon bel été
Ont sauté par la fenêtre
L’amour a été mon maître
Je l’ai servi au dessus des dieux
Si je pouvais renaître
Je le servirais mille fois mieux