La fin d’un monde

La fin déjà ancienne d’un monde, le mien. Dans les années cinquante et soixante du XX° siècle j’ai tenu compte de la puissance du parti communiste en France et de l’Union Soviétique, coeur du « camp socialiste » dans le Monde. J’étais favorable à l’Unité populaire, je ne voulais pas tomber dans l’anti-communisme, l’ennemi principal à l’époque me paraissait être l’impérialisme américain. Cet univers a complètement disparu et avec lui certaines attitudes politiques.