Benoit Hanon

J’utilise le pseudonyme Hanon pour que ce personnage ne soit pas confondu avec un candidat à l’élection présidentielle :
I, Benoitement Hanon distribue des insultes. Il pense qu’elles font mal alors qu’elles laissent indifférent
2, Hanon anonne ses dernières réflexions qui ne sont que resucée, résidu d’un vieux « socialisme » électoral
3, Hanon n’a d’autre diplôme que les jeunesses socialistes, école du maffiotage, de la magouille
4, Hanon, n’ayant jamais travaillé, a horreur du travail qu’il confond avec une torture
5, Hanon proposait la semaine de trente-deux heures, proposition valable en 2050. Nous aurons de la chance si nous sauvons nos trente-cinq heures
6, Hanon, par haine du travail, proposait une atmosphère d’assistanat universel.
7, Hanon a fait partie des « frondeurs » qui souhaitaient la chute de Valls, premier ministre « socialiste »comme lui. Avec sa logique inexorable Hanon souhaitait que Valls ne lui rende pas la pareille. Malheureusement pour lui c’est déjà fait.
8, Ayant abandonné les quelques idées qui lui donnaient un semblant d’originalité et qui lui ont valu sa victoire aux « primaires », Hanon, distancé dans les sondages, devrait se désister en faveur de Mélenchon qui, lui, est brillant
9, Il y a un patriotisme du « parti socialiste », mêlé d’idées diverses, un peu confuses, et de situations établies, patriotisme de boutique, qui entraine en faveur de Benoit la maire de Lille, Martine Aubry, elle qui nous a couvert de honte en interdisant la braderie de Lille, manifestation importante, alors que la ligne, officielle et justifiée, est de ne pas céder à la menace terroriste; la maire de Paris, Anne Hidalgo, qui ne cite pas son mentor Delanoë, lequel s’est rallié à Macron, mais qui soigne ses « bouchons », par haine de l’automobile; Najat Vallaud-Belkacem qu’on a connue mieux inspirée…
10, J’avais d’autres idées, mais je les oubliées. Il faut dire que le sujet n’est pas très inspirant.

P.S. : J’oubliais. Parmi les propositions de Benoit, qu’il a faites et que peut-être il fait encore, il y a l’impôt sur les robots, une erreur maximum. Nous sommes au début d’une révolution, numérique, informatique, robotique. Il ne faut surtout pas la freiner.
2°P.S. : la vision de l’avenir chez Hanon est très pessimiste, ce qui est curieux chez un homme de gauche. En fait Benoit H. n’est pas de gauche, il est de « gôche ».