Effacer les traces
Des grandes illusions
Acquises par héritage
Congédier
Les vierges faussées
Les sirènes bigleuses
Et les houris de bas étage
Défaire les liens
Entre les eaux
Agitées de son cœur
Difficile à consoler
Et les grands barrages
Il ne reste sous les cils
Ni mer ni terre
Le voile est retombé
Sur les visages
Et l’horizon s’est noyé
Dans l’actuel paysage
Maria Zaki (Inédit, 2015).