Dans le temps
Consenti à l’Autre
Accueille
Sa gaité et sa détresse
Sa force et sa faiblesse
Mais n’accueille jamais
Sa solitude
Pour éviter d’en devenir
Le chemin
Maintiens-la à distance
Sous une main
Douce et ferme !
Maria Zaki (Sur les dunes de l’aimance, 2011).
Commentaires :
El Alaoui Saïd dit :
23/04/2011 à 19:11
Moi, c’est le début du poème qui m’a le plus intrigué : “le temps consenti à l’Autre”, CONSENTI, nous dit-elle…
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23/04/2011 à 14:06
L’objectif indiqué dans le poème est dur à atteindre mais j’aime beaucoup la chute avec son paradoxe qui ne me laisse pas indifférent : “Sous une main douce et ferme !”
Bonne chance pour le maintien de votre blog !