S’agit-il de voir
En sous-regard
Ou d’écouter
En sur-écoute ?
Cela suffit-il
Pour sauver nos sens
Blessés dans
Leur propre veille ?
Et comment fuir
Ce que le cœur a retenu ?
Accompagner de loin
Le silence paradoxal
De la haute mémoire
Ou simplement oublier
De ne pas oublier !
Maria Zaki (Le velours du silence, 2010).
Commentaires :
Maria Zaki dit :
06/02/2011 à 11:10
Je vous en remercie vivement pour votre participation.
Amitiés.
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04/02/2011 à 22:29
je dirai que votre poésie en utilisant les interrogations, en plus de sa qualité, nous fait participer par la réflexion
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13/01/2011 à 18:11
Si la haute mémoire est comme la haute mer, le principe de la liberté devrait y prévaloir…