Familière de lui
Etrangère à tout
Je me promène de nuit
Dans les couloirs de l’esprit
Quand ma folle sagesse
Se revêt de lui
Et qu’il devient un rêve
Sans pardon ni trêve
Je me réveille avant de choir
Sous l’emprise de son regard
Avant que ne me vienne
Le bon ou le mauvais espoir !
Maria Zaki (Le velours du silence, 2010).
Commentaires :
El Alaoui Saïd dit :
08/03/2011 à 10:05
J’aime beaucoup ce poème, il montre comment l’expression créatrice dans la langue poétique de Maria Zaki s’effectue. On ressent la présence d’une langue dans la langue…