D’entrée de jeu
Tu me dis de
Maintenir la tension
L’étonnement
Ne mets pas
En doute le hasard
Me murmures-tu !
Au premier lancer
Je nous souhaite
De sortir
Le chiffre essentiel
Celui de la poésie
Au second
De nous engager
Dans un jeu de dés
Sans les dés
Que nous seuls
Connaîtrions !
Maria Zaki (Inédit, 2011).
Commentaires :
un amoureux de l’océan dit :
29/07/2011 à 16:11
Et sans étonnement, il n’y a pas de poète.
En toute amitié.
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21/07/2011 à 11:06
Eh oui, il ne faut pas négliger le hasard que chacun désigne à sa façon : coïncidence, destin, volonté divine, sort, chance ou malchance…
Balzac a dit : “Il n’y a rien de plus triste qu’une vie sans hasard.”