Etrangère au sein
Du plus familier
Je voyage sur les ailes
D’une langue
Amarrée au silence
Au-delà de l’intensité
Des mots sans voix
Leur résonance en moi !
Ne dit-on pas
Que les grands voyages
Débutent par
Un premier pas ?
Je le risque
Sans regrets ni remords
Et un autre pas
Puis un autre…
Jusqu’à l’entrée
D’une terre
Passagère des corps !
Maria Zaki (Inédit, 2011).
Commentaires :
Fadila dit :
03/01/2012 à 13:16
Parfois le familier peut devenir un labyrinthe… Bonne et heureuse année !
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31/12/2011 à 15:20
Ne dit-on pas que l’étranger a des yeux qui voient plus clair ?
BONNE ANNEE 2012 avec plus d’inspiration !