Livrée à mes délires
Entre la racine et la cime
Sur le tronc du silence
Qui parle
Et ne parle pas
Un peu de sève
Me suffira
Pour éviter la pendaison
De mes espoirs
Et si en plus
Un oiseau se posait
Sur une de mes branches
Je promets de le laisser
Chanter
Le drame de l’être
Sans en avoir peur !
Maria Zaki (Soudain les roses pourpres, 2012).
Commentaires :
Maria zaki dit :
12/05/2012 à 20:40
Merci infiniment à vous tous !
Amitiés,
Maria.
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Bilali dit :
11/05/2012 à 20:00
Très beau poème, forme et fond réunis.J’ai assisté à votre conférence à la faculté de lettres et je tiens à vous dire que des personnes se sont déplacées de Marrakech et d’Agadir pour vous rencontrer et que vous avez laissé une excellente impression à tout le monde. Merci pour votre intervention de qualité.