Parcourir le labyrinthe
Des sourds
Symphonie amoureuse
En bouche
Déployer sa toile
De transparence
Au bord de l’océan
Faisant mine de dormir
Dans l’orange du soleil
Qui se couche
Et apprendre
À son cœur éprouvé
Par l’insoutenable fracture
L’exercice du pardon
Que faut-il d’autre
Pour sortir du temps
Et de ses lamentations ?
Peut-être
Un grain de folie
Planté dans
Ses limitations !
Maria Zaki (Soudain les roses pourpres, 2012).
Commentaires :
Houria dit :
24/11/2012 à 20:50
Ce poème est beau et fort en sens. En plus la chute surprend…