Les plantes
Du sous-bois
N’ont guère le choix
Pour survivre
A la pénombre
Elles s’adaptent
Si par malheur
Elles baissaient le front
Elles mourraient
De désolation
Elles regardent
Infatigables
Le toit de la forêt
Et au moindre rayon
De lumière
Elles tremblent de joie
Maria Zaki (Inédit, 2014).