Sept jours trois vers

Sept jours trois vers

Mon poème renaît

Volant dans la nudité

Du présent trop pressé

Aux fenêtres du silence

Plus rien ne bouge !

Sept nuits trois vers

Une main inévitable

Caresse l’oiseau

L’effraie

La mesure bouge

Plus rien ne l’arrête !

Maria Zaki (Et le cheval se relève, 2009).

Commentaires :

Lotfi dit :

23/02/2011 à 18:09

Sénèque a dit que la caresse n’éveillait ni la rudesse ni l’effroi, mais il n’a rien dit à propos de la peur…
Amicalement

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Houria dit :

18/02/2011 à 13:51

Doit-on comprendre que L’oiseau ne supporte d’être caressé que des yeux ?