Je garde encore en main
Un peu de temps
Pour le rêve
Là où la course
Des aiguilles de l’horloge
Fait trêve !
Je ne perds pas la nuit
Ce qui se laisse
Gagner le jour
Mais je ne gagne
Ni de jour
Ni de nuit
Une seule seconde
Qui se laisse perdre !
Maria Zaki (Inédit, 2011).
Commentaires :
bahia dit :
09/05/2011 à 23:51
Bonsoir Maria,
“Je voulais dessiner la conscience d’exister et l’écoulement du temps » Henri
Michaux.
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07/05/2011 à 19:40
C’est une façon originale de considérer l’écoulement du temps.